Mon addiction aux jeux d’argent à investisseur gagnant !

Mon addiction aux jeux d’argent à investisseur gagnant !

Mon histoire, ma légende personnelle

Introduction :

Bonjour, je m’appelle Rémy j’ai aujourd’hui 32 ans et je tiens à vous raconter un épisode de ma vie. Il y a quelques années encore, je n’étais qu’un demi-perdant, un accro, un toxicomane des jeux d’argent, et où j’ai bien failli finir à la rue comme un sans-abri, mendiant une pièce pour un tour de roulette supplémentaire.
Aujourd’hui, je suis investisseur immobilier à succès, j’ai différentes sources de revenus passives et actives, et l’idée de conquérir le monde n’est plus un fantasme abstrait, mais une tâche parmi tant d’autres écrite sur mon réfrigérateur.
Que s’est-il passé ? Montez dans le wagon, éteignez vos téléphones, et laissez vous guider.

Mes débuts :

J’ai toujours eu un faible pour les jeux d’argent.
Dès que j’ai eu l’occasion de franchir les portes d’un casino à ma majorité, j’ai été séduit.
Poker, casino, courses de chevaux, l’idée de gagner beaucoup d’argent sur une seule bonne décision m’a toujours fasciné.

« À chacun ses vices, à chacun ses délices, à chacun sa 8.6 »
comme disait le prophète Doc Gynéco.

Chez certain ça peut être la drogue, l’alcool, le sexe tarifé, la violence, le tout combiné, mais pour mon cas, c’était absolument le jeu.
À qui la faute ? Bien entendu, c’était de la mienne.
Peut-être qu’avec le recul aujourd’hui, je pense que le cinéma, mes fréquentations (des joueurs invétérés) et ma faiblesse mentale, (j’étais jeune et naïf), ont été des ingrédients, qui une fois mélangés m’ont offert le cocktail le plus savoureux, mais le plus dangereux que je n’ai jamais pu goûter… Le jeu.
J’ai cru sans douter que le poker allait changer ma vie, que je serais un grand champion, alors j’ai consacré plusieurs années et beaucoup de mon énergie à enchaîner des tournois sur Winamax, ou PMU poker dans l’espoir de rafler la mise.
Alors oui, cela a changé ma vie, mais pas comme je l’espérai.

Exemple classique : je mise 50 € au PMU sur un cheval nommé Jean-Michel Tocard. Je crois dur comme fer qu’il va gagner car les statistiques le prouvent par A + B.
Les encouragements pleuvent, les autres joueurs du café pourtant des habitués prennent le même pari sûr d’eux-mêmes et résultat …
Le cheval perd à moins d’une seconde de la ligne d’arrivée.

Finalement, je m’appauvrissais de plus en plus, en finissant à découvert chaque fin de mois.

Fichu jeu …

Déçu, frustré, cette obsession me dévorait de l’intérieur.
Je ne pensai qu’à ça.
«Il faut que je me refasse» était mon leitmotiv.
«Allez un bon coup de chance, et je rattrape tous les autres mauvais » résonnait dans ma tête.
Surtout que la tentation était énorme. J’habitais à 2km d’un casino !
Laisser un loup affamé dans une bergerie et espérer qu’il jeûne était moins utopiste.

Ma traversée du désert

Je devais remonter des enfers coûte que coûte où je vais y laisser ma peau me disais-je.
Comme un alcoolique pris d’un éclair de lucidité, j’ai pris la décision de me prendre en main et de consacrer mon temps et mon énergie dans la création d’une entreprise.
Rude chemin du combattant que fût cette expérience car en effet, après deux ans de travail, je suis contraint de mettre un terme à ma société car elle n’était pas rentable.
Père de famille, donc impératif de production oblige, je choisis un job qui ne me convient pas, mais qui subvient aux besoins de ma famille.
L’espoir de réussir par moi-même n’étant jamais bien loin, je fournis le double d’effort pour me former en parallèle de ce travail  dans l’entrepreneuriat.
J’ai pris le taureau par les cornes.
J’ai d’abord commencé par être positif dans mes comptes bancaires pendant plusieurs mois et en parallèle, à placer de l’épargne sur un compte, puis à gérer aux petits oignons mon budget.
Avec mon passé de flambeur, je vous laisse imaginer la souffrance qu’est de devoir compter chaque centime pour sa vie quotidienne.
Ne rien laisser au hasard, tous les soirs se préparer un repas pour le lendemain au travail, (ce qui évite de consommer dehors), covoiturer avec les collègues de travail, mettre un terme ou choisir pour moins chère tous mes abonnements (téléphone, salle de sport, mutuelle, assurance, etc.). J’ai passé au peigne fin toutes mes charges dites «compressibles».
J’ai du faire des choix d’homme.
J’ai vendu quelques voitures, et occupé un post de préparateur de véhicule.

Sur mon visage refléter une grande motivation

Cela était la souffrance nécessaire pour accéder à la réussite.
Comme toute discipline majeure, la rigueur est maîtresse.
«Discipline, discipline, discipline» se répétait inlassablement dans ma tête, je ne devais pas craquer à dépenser mon argent dans des fioritures du type restaurant, vêtement, voyage, alors que j’adore tous ça ! Je suis de base un très bon vivant, qui aime offrir et se faire plaisir, mais là je le répète, j’ai dû faire des choix d’Homme.


Ce sera une vie d’ascète pour un moment encore indéfini mais je le sais, aucun effort n’est vain.
Alors commença ma traversée du désert.
Ce fut un jeûne complet. Ma vie consistait à travailler mes 8h au garage avec un réveil douloureux à 07h00 du matin, puis de retour au foyer après le travail et ma séance de sport à 19 h.
Ensuite consacrer du temps (quasiment chronométré) à ma femme et mes enfants pendant quelques heures, et après je travaillai sur ma formation en ligne à analyser les stratégies de rentabilité immobilière jusqu’au soir 22h.
Je mangeais et je m’effondrais au lit tous les jours de la semaine à 22 h 30.
La pression commençait à se faire sentir au sein de mon couple.


Ma femme voulait que je passe plus de temps avec elle et nos enfants, et les seuls moments de détente que je m’accordais était une ballade au parc à côté de chez moi, et seul, je faisais des ricochets pour me vider l’esprit et faire le point avec moi-même.
Je voyais en ces ricochets mon avenir.
Avec le bon angle, la bonne force, et le bon projectile, je pourrais aller loin, jusqu’à l’autre rive, je ne suis pas destiné à couler.
Tous les matins devant le miroir avec ma brosse à dents dans la bouche, je me répétais avant de partir prendre la route : «je vais réussir mes projets, je serais indépendant financièrement et j’offrirai la vie que je veux pour mes enfants et ma femme». La force de l’esprit.

Visualiser ces projets aide à les réaliser.
À la manière d’un boxeur qui imagine ses combats dans son esprit pour mieux les assimiler, ou qui, lors de ses entraînements frappe dans le vide ou face à un miroir (cela s’appelle le «shadow boxing» pour les amateurs) je me suis préparé mentalement à réussir mes projets à la force du poignet en tirant la vie par les cheveux.
Bien que ce soit moi, qui au début m’arrachais les cheveux de la tête, tellement je ne comprenais rien à mes cours sur l’immobilier.
Entre la fiscalité, les travaux, les calculs de rentabilité…

Le turn-over

Après des mois d’efforts, les premières lueurs de résultats commençaient à percer les nuages.
Mais pas là où je l’imaginais .
J’ai été embauché en CDI au garage dans laquelle je courbais l’échine depuis maintenant plus de six mois.
Effectivement comme je vous l’avez précédemment dit, c’était un job qui me plaisait pas.

Je n’avais pas pour vocation à moyen et/ou long terme de nettoyer des véhicule en quantité importante. 
C’était dur. Au moins une chose est sûr, laver une vingtaine  de véhicule par jour dans le froid m’a poussé à changer mon mental, donc la vision du monde, et par la force des choses votre coté guerrier.
Ces premières lueurs de résultats, apaisèrent l’ambiance un tantinet tendue au sein de mon foyer.
Ma femme fut ravie d’apprendre que j’aurais à présent des revenus fixes tous les mois.
Mais personnellement, je vis ça comme un futur argument solide face à mon banquier pour ma prochaine demande de prêt.
Car malgré des revenus fixes chaque mois, un CDI pèse son pesant de cacahuète pour la demande d’un prêt immobilier.
Si ce dernier est accompagné d’un dossier très professionnel à présenter, (ce à quoi je travaillais comme un rat de bibliothèque depuis des mois) je voyais mes rêves s’ériger en douce réalité.

Au bout du tunnel, la lumière

Après la visite d’une maison qui me sembla sans cachet à première vue, j’ai vu l’affaire de ma vie.
À  l’instar d’un chercheur d’or qui trouve une pépite, je jubilais (silencieusement, poker face oblige face à votre vendeur) à l’idée d’acquérir ce bien. Et quel bien !
La maison que je visitai était dans un état correct malgré les travaux de rénovation à prévoir, mais qui à vue d’œil resterai dans mon budget.
Et le point le plus important était une petite dépendance. Celle-ci auparavant, servait de local par l’ancien propriétaire. 
Comme je l’ai déjà écrit dans l’article «mon parcours» je décelais en cette petite maisonnette  un potentiel énorme que j’ai su exploiter judicieusement grâce aux théories apprise dans ma formation. (oui, j’ai acheté le bien).

Avec la  location de cette maisonnette en courte durée les  loyers versés me rembourse l’intégralité de mon crédit.
Mon logement s’auto-finance
Ce fût une victoire sur la vie, et la concrétisation de mes pensées en actes.
Je ne me suis rarement senti aussi conquérant.
À présent, la seule idée qui hantait mon esprit était de réitérer l’opération jusqu’à pouvoir démissionner du garage dans laquelle je travaillais, et ainsi vivre en homme libre.

Et toi, dans tous ça ?

Aujourd’hui mon business tourne à plein temps, j’y vis, et même plutôt bien.
Je ne souffre plus d’addictions, les opportunités pleuvent et mes sources de revenus se multiplient.
Je ne travaille plus pour de l’argent, non l’argent travaille pour moi.
Il s’agit d’une des expériences les plus laborieuses que je n’ai jamais connu, mais tellement enrichissante ! (Dans tous les sens du terme).
Je souhaite à travers mon témoignage de vie, t’aider toi aussi à lancer ton entreprise immobilière.
Réussir un projet d’une telle envergure peut faire peur, (j’étais personnellement terrifié à l’idée d’échouer) mais à vaincre sans péril on triomphe sans gloire.

Voici mon offre : réussir tout comme moi à monter en puissance financière grâce à l’immobilier.

Attention, ce sera certainement une des choses les plus dures que tu n’auras jamais faites jusqu’à présent dans ta vie, et tu vas probablement échouer.
Mais si tu es discipliné et courageux, les portes du succès s’ouvriront devant toi.
Merci de m’avoir lu, j’espère que tu as aimé mon histoire et que d’autres aimeront la tienne.

On se revoit très vite.

À bientôt,

Cet article a 6 commentaires

  1. Pierre FLoret

    Waouh quel beau témoignage et qu’elle force de vie ! Merci d’avoir partagé ton histoire qui m’a permis de reprendre l’espoir, de faire le bilan et surtout m’a motivé pour le futur !

    1. Roquet

      Une très belle revanche sur ton avenir ! Travail, Curiosité & Persévérance sont clairement les clés de la réussite or ils représentent la partie immergée de l’iceberg que beaucoup ne perçoivent pas.
      Your life is 100% your responsability no one will comme to save you

      1. investissement novice

        merci beaucoup

    2. investissement novice

      j’espère t’avoir inspirer un conseil fonce et écoute personne

      merci

  2. Colin

    je suis tombée par hasard sur ton témoignage et je te dis bravo, car c’est tellement dur qu’on aime pas ce qu’on fait
    j’aimerais beaucoup avoir ta volonté et ta force pour m’en sortir
    Bravo encore une fois
    Et bon continuation à toi.

    1. investissement novice

      merci beaucoup pour ton commentaire

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